Version courteOlivier Cretin, photographe explorateur urbain (urbex)

Sur terre depuis les années 80, photographe amateur depuis 2010, explorateur urbain depuis 2014, lyonnais depuis 2016.

Version plus longue

Comme beaucoup, j’ai joué avec des appareils photos et des pellicules à l’époque de l’argentique et des appareils jetables. Ma sensibilité de photographe s’accordait bien avec ce type d’appareils, pas plus qualitatifs l’un que l’autre.

J’ai commencé à vraiment m’intéresser à la photo beaucoup plus tard, en 2010. A l’époque, un collègue de bureau passait toutes nos pauses café à essayer de m’inculquer les rudiments de la technique photographique. Il faut croire que ça a marché. En effet, sous son impulsion, j’ai acheté mon premier reflex et ai rapidement dévoré le manuel et d’autres livres théoriques. Et surtout je me suis mis à ne jamais sortir sans mon appareil photo pour shooter tout ce qui bougeait (ou pas) autour de moi. Mes amis peuvent en témoigner.

Je me suis progressivement spécialisé, notamment en photo de voyage (Etats Unis, Maroc, Roumanie). J’ai aussi réalisé un projet 365 en 2013 – 2014. Ce projet s’est finalement terminé en 265 – normalement il consiste à prendre une photo par jour pendant un an. Je n’ai réussi à faire des photos satisfaisantes que 2 jours sur 3 mais c’était déjà pas mal, et surtout j’ai beaucoup progressé grâce à lui.

Et l’urbex dans tout ça ?

J’ai découvert l’exploration urbaine (urbex) en 2014. Au départ c’était juste une sortie photo du dimanche. On m’avait parlé d’un vieux sanatorium abandonné pas loin de Grenoble (où j’habitais à l’époque), j’étais curieux de voir ça.

J’ai été totalement fasciné par cette visite. De retour à la maison je me suis mis à rechercher d’autres lieux abandonnés. Et le weekend suivant je visitais une vieille cimenterie, j’avais attrapé le virus !

Depuis, cette passion ne m’a plus quitté. C’est la pratique parfaite pour moi : de la photographie, des découvertes, de l’histoire et des vieilles pierres, un soupçon de risque et d’interdit… J’adore.

Depuis, la balade du dimanche s’est transformée en road trip de plusieurs jours, et le terrain de jeu est passé de la périphérie grenobloise à l’Europe, voire au monde entier ! Je ne compte plus les lieux visités. Mais une chose est certaine, il y en a énormément d’autres à découvrir.

 

 

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